K-taping et cancer du sein

Le K-taping : application veino-lymphatique, cicatricielle, tendineuse, articulaire et musculaire

Dans les années 70, la technique du K-taping est développée par un japonais pour améliorer la proprioception dans le domaine du sport. En 1998, cette technique est arrivée en Allemagne.

Le K-taping agit sur la peau qui est le plus grand organe du corps humain et n’est pas contraignant puisqu’il est fin, souple, en coton et donne une sensation « double peau ». Il se porte jusqu’à 6 jours et 24 h/24.

Pour en savoir plus sur la thérapie K-taping. 

ktaping cancer du sein

Les atouts du K-taping :

  • amélioration de la fonction musculaire (relâchement ou activation musculaire),
  • amélioration de la circulation veino-lymphatique (réduction de l’Œdème sans remplacer un bandage multicouches),
  • diminution de la douleur,
  • soutien de la fonction articulaire en application ligamentaire et application proprioceptive,
  • application sur les cicatrices pour défibroser et diminuer les douleurs.

Exemples d’applications possibles pour le cancer du sein :

  • Le drainage d’un œdème du membre supérieur, du sein, du dos,
  • L’application sur une cicatrice,
  • L’action sur une douleur musculaire,
  • Les cordes lymphatiques,
  • Le soutien articulaire notamment sur les douleurs articulaires d’épaule.

Le K-taping est donc utilisé dans de multiples pathologies dont le cancer du sein.